Date : 26 sep­tem­bre 2020
Heure : 0h00 — 0h00
Lieu: Musée nation­al de l’his­toire de l’im­mi­gra­tion
Livres | Vivants

Carte blanche Meh­di Charef au Musée nation­al de l’his­toire de l’im­mi­gra­tion
293 Avenue Daumes­nil
75012 Paris
Le 26 sep­tem­bre 2020 à 16 h 30

Carte blanche à Meh­di Charef, lau­réat du prix lit­téraire de la Porte Dorée 2020

Né en Algérie en 1952, romanci­er, scé­nar­iste et cinéaste, Meh­di Charef est arrivé en France en 1962. Il a con­nu les bidonvilles, les cités de tran­sit et l’usine avant de pub­li­er qua­tre romans, tous au Mer­cure de France, et de réalis­er onze films, dont Le Thé au harem d’Archimède (1984) et Gra­ziel­la (2005). Son auto­bi­ogra­phie « Rue des Pâquerettes » (Edi­tions Hors d’Atteinte, 2019), qui évoque l’enfance de l’auteur à Nan­terre, a été récom­pen­sée du Prix lit­téraire de la Porte Dorée 2020.

Le prix lit­téraire de la Porte Dorée, porté par le Musée nation­al de l’his­toire de l’im­mi­gra­tion, récom­pense chaque année un roman ou un réc­it écrit en français et ayant pour thème l’exil, l’immigration, les iden­tités plurielles ou l’altérité liée aux réal­ités migra­toires. Le jury désigne le lau­réat par­mi une dizaine de titres de l’année édi­to­ri­ale précé­dente, sélec­tion­nés par le comité de lec­ture du Palais.

Pour cette carte blanche, Meh­di Charef a souhaité inviter Fati­ma Daas (« La petite dernière », pre­mier roman paru en cette ren­trée lit­téraire de sep­tem­bre), Denis Lachaud (« Les métèques », sélec­tion du prix lit­téraire de la Porte Dorée 2020), et Akli Tad­jer (« Qui n’est pas raciste, ici ? », « Il était une fois peut-être pas », « Bel-Avenir », « Le por­teur de cartable »…).

Ren­con­tre ani­mée par Math­ieu Simon­et, écrivain, juré du Prix lit­téraire de la Porte Dorée

Vente des ouvrages des auteurs assurée par la librairie Tschann (sous réserve)